It is rich in coins of the 12th to 15th century at Constantinople and Thessalonike, and of … La couleur rouge-pourpre, laquelle chez les hommes était réservée à l’empereur, était la préférée de ces dames[18]. Au début du IIIe siècle l’auteur chrétien Tertullien décrit les femmes arabes païennes dont la face est complètement voilée sauf pour les yeux, à la façon du niqab[17]. L’ouverture du cou devait être boutonnée. and its color and decorative tradition from the Orient and the Middle East.The Roman roots are easy to understand. Outre diverses broderies serties de pierres précieuses, de petites plaques émaillées étaient cousues sur les vêtements. Descendant généralement jusqu’aux hanches, mais parfois jusqu’aux chevilles, elle était beaucoup plus longue que celle que l’on retrouvait dans la Grèce antique. Tchouhadjian, Armand. Autre signe de l’influence orientale sur le costume byzantin : les bijoux, beaucoup plus répandus dans l’empire byzantin qu’ils ne le furent jamais à Rome. Au XIIe siècle, l’empereur Andronic Comnène critiqué entre autres pour l’excentricité de ses vêtements portait un chapeau en forme de pyramide. All three wear crown with cross and pendilia, imperial tunic, and loros; Michael VII holds labarum-headed sceptre in right hand and akakia in left, Constantios holds globus cruciger in right hand and akakia in left, while Andronikos holds akakia in right hand and globus cruciger in left, IC XC, [ ] EVΔKKIA?, Full-length figures of Christ, Romanos and Eudokia. La plupart des hommes représentés dans les images qui nous sont parvenues, sauf les empereurs, sont tête nue ce qui parait normal dans des images votives par respect pour la divinité à laquelle on s’adresse. La chlamys (chlamyde*), manteau d'une seule pièce de tissu carré ou rectangulaire, sans couture mais avec une attache sur l'épaule droite laissant le bras dégagé fut portée pendant toute la durée de l’empire. Les coiffes des prêtres et hauts dignitaires des Églises orthodoxes modernes de même que les mitres des évêques catholiques sont également les reliquats des coiffes, alors beaucoup plus élaborées et colorées, des hauts fonctionnaires de l’empire byzantin. On portait également des hauts-de-chausses et des pantalons collants, mais ceux-ci ne figurent pas sur les portraits des riches personnages, étant généralement assimilés aux tenues des barbares, européens ou perses. Christ, nimbate, standing on footstool and wearing tunic and himation, crowns Romanos and Eudokia. Celui-ci est probablement plus près de la réalité et était normalement porté par les veuves ou les femmes mariées lorsqu’elles sortaient de la maison. Le vêtement ecclésiastique fut celui qui connut le moins de changements au cours des siècles, certains vêtements portés au cours de l’empire byzantin étant pratiquement identiques à ceux que l’on voit encore dans les Églises orthodoxes d’Orient, voire dans l’Église catholique romaine. Les sources littéraires pour leur part ne permettent pas de faire la distinction entre un voile qui couvrirait la chevelure et un voile qui couvrirait l’ensemble de la face[13]. Les bords et les manchettes étaient souvent décorés de broderies avec une bande sur le haut du bras. Les jambes que l’on peut voir sont toutes recouvertes de bas, celles des soldats et des personnalités faisant voir des courroies retenant probablement des sandales. Un excellent exemple de l’éventail de vêtements que l’on pouvait trouver au XIVe siècle nous est fourni par une mosaïque de l’église de la Chora à Istanbul. En 388, l’empereur Théodose Ier et ses coempereurs sont représentés dans le « missel de Théodose » portant le tablion* à hauteur des genoux, mais celui-ci aura tendance à remonter le long de la chlamyde comme on peut le voir sur les plaques d’ivoire datant de 413-414[8]. Sous leur tunique, les deux sexes portaient une camisia*, sous-vêtement fait de lin ou de soie destiné à protéger les riches tissus de la transpiration et des huiles corporelles[6]. Les rouges profonds, les bleus, verts et jaunes de toutes nuances firent leur apparition sur les vêtements des riches alors que la couleur pourpre était réservée à l’empereur[1]. Même les vêtements les plus ordinaires semblent avoir été dispendieux pour les pauvres[2]. Le chapeau de l’empereur est composé d’une partie supérieure en forme de dôme et d’une bordure relevée en forme de pointe s’avançant vers l’avant comme la proue d’un navire. Le vêtement byzantin évolua à partir des vêtements portés pendant l’Empire romain (27 av. Fait de drap d’or ou d’un tissu similaire rehaussé de pierreries et de riches broderies, cette parure était généralement divisée par des lignes verticales sur le col. Ses bords étaient rehaussés de perles de diverses grosseurs s’étalant sur un, deux ou même trois rangs. It is rich in coins of the 12th to 15th century at Constantinople and Thessalonike, and of the so-called empire at Trebizond after 1204. Ces bonnets de feutre en provenance d’Ibérie furent à la mode au XIIe siècle. Les vêtements stéréotypés de l’imagerie religieuse, On trouvera à la fin du texte un glossaire expliquant les mots suivi d’un astérisque, Voir par exemple chap 1, « Ce qu’il faut observer lors de la procession à la Grande Église, c’est-à-dire ordre et cérémonial des insignes et illustres cortèges en lesquels les empereurs se rendent à la Grande Église » décrivant les changements de vêtements tout au long des étapes de la procession, Titre créé par l'empereur Alexis Ier (r. 1081–1118) pour honorer son frère aîné Isaac Comnène; le sébastocrate était le deuxième personnage de l’empire.